Matt Siellet, franco-australien, améliore son Français grâce au parcours FLE. « J'apprends les règles, puis je les applique en parlant avec des francophones. » Matt Siellet Chercheur Particuliers Quel était votre niveau de français avant votre arrivée ? J’ai une base en français, mais c’est pas fort. Avant de venir, je crois que mon français était le niveau comme le A2, B1. Et les solutions du Projet Voltaire vous aident… J’aime beaucoup le Projet Voltaire, parce qu’il n’y a pas d’horaires. Du coup, j’ai fait peut-être tous les deux jours, sur mon portable, si j’ai un peu de temps. Je crois que c’est parfait pour mon niveau, parce qu’il y a des choses pas faciles,mais il y a des choses que j’ai déjà connues, et il y a aussi des nouvelles règles. Vous avez d’autres méthodes pour progresser ? J’utilise deux phases. La première, c’est de faire le cours, faire les leçons, apprendre les choses, le vocabulaire, les règles. Mais aussi, j’essaie activement d’utiliser les règles en conversation avec les francophones. Et quels sont vos résultats après deux mois ? C’est incroyable pour moi, parce que quand je suis arrivé, comme j’ai dit, j’avais le niveau B1. Oui, je peux parler de petites choses, commander quelque chose à la boulangerie, mais maintenant, je peux vraiment m’exprimer. Si j’ai des pensées, je peux parler avec quelqu’un. Je sais qu’il y a des fautes, il y a toujours des fautes, mais la confiance, je suis le plus à l’aise avec. Envisagez-vous de vous certifier ? Le français, c’est pas ma langue maternelle. Si je veux travailler ici, je crois, c’est mieux si j’ai une évidence, une formation, une certification pour montrer aux employeurs que je peux parler en français, que je peux écrire en français.
